Adriadna Castellarnau
Brûlées
Ed. L'Ogre
Souvent, dans le roman post-apocalyptique, il n'est pas si important de savoir ce qui a bien pu causer la fin du monde tel que nous le connaissons. Et ça, Adriadna Castellarnau l'a bien compris. Ne vous posez donc pas trop de question sur le où, le quand ou le pourquoi car dans sa version personnelle du lendemain de cataclysme, elle ne s'encombre ni d'explication, ni de théorie et ne se lance pas même dans un état des lieux. Elle fait dans le minimalisme. À la manière d'un faisceau lumineux, son livre met en évidence quelques survivantes et en dresse des portraits qui font travailler l'imagination, frappent l'esprit et affectent d'une vive exaltation. Ces tableaux sans légende composent les fragments d'un livre court, simple et poétique, que l'on peut presque considérer comme un carnet d'impressions plutôt que comme un roman de genre.
Voilà qui pique ma curiosité...
RépondreSupprimerAlors vous savez ce qu'il vous reste à faire...
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