Joseph Incardona
Derrière les panneaux il y a des hommes
Ed. Finitude
Il y a deux ans, je lisais La Soustraction.
Disons que chez moi ce roman a fait écho.
(N'allons pas jusqu'à parler de révélation)
Comment donc résister à ouvrir Les Panneaux ?
Vengeance et brutalité, sang, sexe et tension,
Tout le champ lexical du roman noir y passe.
Et pour cause, en voici une habile variation
Alors qu'un homme en cherche un autre, l'attend, le chasse.
C'est sur l'autoroute que se déroule l'action,
S'agite un microcosme et valdinguent les pions.
Tout va très vite, la narration est au cordeau.
L'auteur malmène ses personnages, le trublion,
Et n'épargne rien à ses lecteurs, attention !
Mais ça ne vous effraie pas, hein ? Vous êtes pugnace...
Reste une question.
RépondreSupprimerDe l'auteur ou du chroniqueur,
Qui fut l'initiateur
De l'écriture ici en utilisation ?
De l'auteur ou du chroniqueur ?
SupprimerVotre serviteur.
Paul Fournel
RépondreSupprimerL’autre, sonnet
Sonnet pas la peine
Sonnet pas important
Sonnet pas grand chose
Sonnet rien
Sonnet pas grave
Sonnet pas sérieux
Sonnet pas nécessaire
Sonnet pas l’heure
Sonnet pas trop fameux
Sonnet pas bien méchant
Sonnet pas la mer à boire
Sonnet pas lui
Sonnet pas moi
Sonnet l’autre
Sonnet les mâtines
SupprimerUn excellent roman oui, rythmé, original, tendu..
RépondreSupprimerVraiment très bon, oui. Maintenant, du même auteur, il y en a d'autres qui me font de l’œil.
SupprimerSuper billet 😄
RépondreSupprimerMerci !
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